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29 novembre 2011 2 29 /11 /novembre /2011 21:14

Remplir les bouteilles de gaz est souvent fastidieux. Aux Canaries, nous n'avions pas pu remplir nos cubes, et nous avions peur de manquer de gaz durant la traversée vers le Cap-Vert. Avec quelques petits trucs nous nous sommes aperçus que nous doublions facilement la durée de vie d'une bouteille.

-Les pâtes et le riz sont à cuire pour au moins deux repas, le temps de cuisson est presque le même, et il y a plein de façon de manger ça froid. Ainsi, tant qu'on a du frais, nous ne faisons cuire qu'un repas par jour (sous les tropiques).

-Cuire le riz en pilaf à la cocotte ( Economies d'eau ) : une fois l'eau mise fermer la cocotte, mettre à feu moyen. Dès que la soupape tourne une bonne moitié du temps couper le feu. Attendre que la pression redescende toute seule (sans enlever la soupape), cela prend environ 10 minutes, et c'est prêt.

-Cuire les pâtes : une fois l'eau à ébullition, mettre les pâtes. Dès que l'ébullition reprend, couper le feu, et laisser couvert. Touiller de temps en temps.  Servir "al dente".

-Utiliser la cocotte ou le four pour cuire deux choses en même temps. Avec une cocotte équipée d'un panier, on peut cuire le riz en pilaf, pendant que la garniture (légumes, poisson) cuit à la vapeur dans le panier; un feu utilisé au lieu de deux. Le four est un gros consommateur de gaz. Aussi, lorsqu'on l'utilise pour cuire un pain (environ tous les quatre jours en transat) on fait également cuire un gâteau, c'est jour de fête.

- Avoir un stock de nourriture ne nécessitant pas de gaz pour être consommé. On baisse ainsi la consommation, et on ne se trouve pas dépourvu en cas de pénurie ou de problème X ou Y de gazinière; c'est con de mourir de faim assis sur ses 50 kgs de riz. Les boîtes de plats préparés, ou de lentilles et haricots (on en trouve de nombreuses sortes au Cap-Vert, par exemple) conviennent bien. Nous essayons de toujours garder un stock de semoule, ça gonfle très bien à l'eau froide.

-Quand on utilise la bouilloire, remplir préalablement les récipients que l'on veut remplir, et les verser ensuite dans la bouilloire. Ca évite de chauffer un litre d'eau en trop à chaque petit dej'.


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26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 20:03


A la marina de Ribeira, à Salvador de Bahia, Axèle passe énergiquement l'éponge. Et soudain :"Loïc, vient m'aider, je suis accrochée". Nous pendons en effet nos leurres de pêche contre la cloison de la cuisine après les avoir rincés à l'eau douce, et en passant un petit dernier coup d'éponge compulsif d'une journée de ménage, l'un d'eux c'est planté dans le pouce d'Axèle. Et pas à moitié, rentré au ras de l'ongle, la pointe a traversé la peau de l'autre côté du doigt.

 

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Ça tombe bien, le père de Loïc, médecin, est à bord, il y a une infirmière sur un autre bateau et au final, tous les bateaux occupés de la marina nous filent un coup de main. L'un a des seringues, un autre a un anesthésiant local, un dernier, des pinces en meilleur état que les nôtres.
Aïe ouïlle ouïlle, les nerfs du doigt sont virulents, et les petites piqûres tout autour de l'hameçon font vachement plus mal que l'hameçon bien logé... C'est quoi cette seringue de l'avant guerre?! "Hé Ho! L'aiguille se tord, arrêtez moi ça, je garde mon hameçon!!" Une nouvelle seringue arrive et l'anesthésie fonctionne, Axèle pousse de toute ses forces la saloperie rouillée qui ne veut pas sortir mais finalement la pointe ressort assez pour la chopper avec une pince. On coupe l'arrondi en amont qui empêche de pousser plus, et crac, Luc tire le reste. Ha bah voilà, y a plus rien.
C'est le pauvre Lolo qui souffre le plus, il est tout blanc!
Une semaine d'antibio et Axèle a une bonne excuse pour ne pas faire la vaisselle...

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26 novembre 2011 6 26 /11 /novembre /2011 19:57

INDISPENSABLE!


On en a besoin chaque fois que l'on fait un avitaillement de gaz, d'eau avec les bidons, de gasoil avec les bidons, de bouffe ( on attache alors une caisse pour y mettre les provisions); autrement dit on en a besoin tout le temps, et ça prend peu de place à bord.

 

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 18:46

Et oui , parfois c'est trop gros pour un seul homme! Alors c'est parti pour les conserves...

 

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Le poisson au naturel ( délicieux avec dorade coryphène ou thon)

Détacher les filets, les rincer à l'eau de mer.
Découper en petits cubes et les tasser dans des bocaux bien lavés à l'eau de mer (important) en laissant un ou deux centimètres d'espace libre.
Recouvrir d'eau de mer et passer une cuillère sur les bords pour chasser un maximum de bulles d'air, laisser un petit centimètre d'espace libre.
Placer les joints ou les couvercles à confiture préalablement plongés dans l'eau bouillante 5min. Fermer les bocaux à l'aide de la bague et les pots de confiture en serrant à l'aide de deux doigts afin qu'ils ne soient pas trop serrés.
Placer dans la cocotte en calant avec un torchon. Remplir d'eau de mer au moins à mi-hauteur des bocaux.
Stériliser pendant 30 min ( après que la soupape commence à siffler) si la consommation se fera dans les jours à venir; 1h30 si c'est pour des semaines voire des mois.
Laisser la cocotte retomber en pression toute seule pendant environ 30 min.
Ouvrir et sortir les bocaux pour les disposer bien debout et les laisser refroidir.
Lorsqu'ils sont froids, contrôler la stérilisation en ouvrant les bagues ( ils doivent bien rester fermés) ou en touchant les couvercles pour sentir que la capsule soit bien rentrée.
Si un pot n'a pas fonctionné il faut recommencer la stérilisation après avoir vérifié qu'il n'y ait pas une impureté ou un défaut sur le joint ou le pas de vis.
A l'ouverture il est facile de savoir si la boite est propre à la consommation car dans le cas contraire une odeur intenable se dégage.


Le poisson au citron

Lorsqu'on n'a pas le temps de faire la stérilisation immédiatement ( poisson pêché la nuit ...)on le fait mariner afin qu'il ne tourne pas.
Découpé en petits cubes et rincé à l'eau de mer, on ajoute du jus de citron et des rondelles de citron ( elles seront confies après cuisson) ainsi que du poivre et de l'huile d'olive généreusement. Comme ça, mariné dans son jus, le poisson peut tenir 4-5 heures sous les tropiques.
Pour la stérilisation on fait comme pour le poisson au naturel en utilisant le jus de marinade rallongé d'eau de mer pour faire l'appoint dans les bocaux. 

On a quand même tendance à refaire cuire le poisson avant de le manger pour tuer les éventuelles bactéries nocives...

retour au sommaire : Le coin du coq

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 18:35

Longueur : 64-74 cm
Envergure : 130-150 cm
Iris : argenté avec orbites bleues (mâles), jaune et noir ( femelle)
Bec : jaune
Face : jaune à jaune-vert
Pattes : jaune-vert
Tête et cou : noirs
Corps : dessus marron foncé, dessous blanc ou tacheté ( jeunes) avec poitrine marron foncée
Ailes : dessus marron-noir, dessous blanc avec pourtours marrons
Queue : marron

fou.JPG
Oiseau grégaire, on le voit en petits groupes mais il sait se former en grands vols lors des chasses quand les poissons prédateurs poussent leurs proies à la surface.
Il vole proche de la surface et exécute des plongeons de faible hauteur.
Se nourrissant proche de la côte, il préfère se percher sur les rochers et les bouées plutôt que de rester sur l'eau. Se perche aussi dans les arbres mais ne niche qu'au sol.
C'est probablement le fou le plus commun et répandu. Dans l'Est pacifique, il colonise le golfe de Californie le long du Mexique, Revilla Gigedos et les îles Clipperton, Tres Marias, et Isabel. Il se trouve aussi au golfe du Mexique, Caraïbes et dans l'Atl. tropical aux îles de l'Ascension, du Cap Vert et au Brésil.
En mer Rouge et dans l'océan indien tropical, sur les côtes Nord de l'Australie, la Grande Barrière de Corail, et sur la plupart des îles du Pacifique du golfe de Siam aux îles de Gambier.
Ponte : toute l'année.
Comme il reste proche des côtes il y a peu de dispersion. Dans l'Atl. O. les populations des Caraïbes et du golfe du Mexique sont des visiteurs occasionnels de la Nouvelle Angleterre et de la Nouvelle Écosse.  Dans l'Atl. E. certains arrivent au N. des Açores. Des fous du Pac. arrivent au N. du Japon et , à l'Est, au SE de la Californie et aux Galápagos.


Retour au sommaire : Les oiseaux de mer

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7 octobre 2011 5 07 /10 /octobre /2011 19:36

Le diva cup

C'est un réceptacle pour les règles. Il remplace les tampons et serviettes hygiéniques à merveille. Moins toxique car sans produits particuliers. Ecolo car on le lave et le réutilise indéfiniment. Le problème de la poubelle à bord est évincé, j'utilise de l'eau de mer pour le laver puis de l'eau douce pour le rincer. Cher à l'achat car il n'y a qu'un seul fabriquant pour le moment mais on s'y retrouve quand même assez rapidement.


Pour plus de détails voir ce lien :  link


On le trouve aussi dans les boutiques bio.

 

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Le pisse-debout Freelax

Ha voilà fini de passer un quart d'heure à se déshabiller, pomper quatre plombes pour un petit pipi de rien du tout, ou chercher des w.c. publics, nettoyer les lunettes ou s'arroser les pieds! Une petite gouttière conçue pour les personnes plâtrées qui permet de pisser sans problèmes tout comme les mecs. Le seul problème est que nos braguettes ne vont souvent pas assez bas, l'idéal reste la jupette ( visualisez le tableau)!
On le trouve au vieux campeur randonnée.
 

 

Lien internet : link

 

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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 21:46

L'une de nos préoccupations principales pour la préparation du bateau pour la Patagonie est sa parfaite étanchéité, en cas de gros temps, voir de retournement. Les fortes entrées d'eau par la descente durant les grains du pot au noir nous ont donc convaincus de lancer ce chantier.  Nos réflexions sur les plans ont duré longtemps (le modèle classique à glissière nous semblant difficile à rendre réellement étanche), et ont connu leurs dernières avancées suite aux discussions avec Lakatao.

Voici le cahier des charges :
Une descente 100% étanche, agréable à vivre lorsque nous ne sommes pas cernés par les déferlantes, soit 99,9 % du temps, et ouvrable de l'extérieur et de l'intérieur (ainsi si l'un de nous a un problème, l'autre n'est pas coincé comme un couillon). Pour réaliser cela, nous souhaitons ne pas avoir recours au moindre professionnel, et utiliser le plus possible du matériel que nous avons à bord (donc, entre autres, pas de soudures).

Et voici la réalisation :
Comme d'habitude, on commence par le démontage et ses cohortes de vis rouillées ou cachées derrière des collages. Et comme d'habitude, nous finissons par tout détruire à la masse et à la meuleuse pour que ça aille plus vite et pour se calmer. A plusieurs endroits la rouille a traversé.

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Pour récupérer une surface de base bien plane et propre, nous collons une plaque de CP marine de 12 à l'époxy sur l'entourage de la porte.


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Puis, joints congés au sikadur colle en dessous et sur les côtés. Nous pouvons ainsi combler les espaces en coulant la résine là où l'acier ne fait plus la bonne épaisseur. Notre surface verticale de départ est prête.


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Nous devons maintenant compenser le bouge (le "bombé transversal") du roof pour obtenir notre surface de base pour le panneau horizontal. Pour cela, nous utilisons des bandes en CP de 12 de part et d'autres de l'ouverture. Pour s'assurer que, malgré le bouge, les deux côtés sont bien parallèles, nous les maintenons collés à une règle en aluminium par du Répare express qui se ponce facilement après utilisation. Ainsi contraints à rester alignés, les bouts de CP sont collés au roof à l'époxy.


photos pa 271

Ensuite, nous rajoutons une épaisseur de CP de 12 pour obtenir la hauteur voulue. Sur le dessus, nous fixons une baguette en CP de 5mm d'épaisseur pour 15 de large, c'est la surface d'appui de notre futur joint de 30 mm de large. Ce dernier pourra ainsi faire un boudin de part et d'autre de la baguette pour améliorer l'étanchéité. A l'arrière, le joint portera sur une plaque de CP verticale collée sur l'acier.


photos pa 398
 

Sur la surface verticale, nous collons désormais les baguettes d'appui de joints qui rejoignent celles du plan horizontal. Ensuite, nous pouvons couper la porte verticale et la mettre en place, de façon à ce que la tranche du dessus soit exactement à la même hauteur que les baguettes de 5 de la surface horizontale.


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La porte est boulonnée à la surface verticale. Pour ce faire, nous avons tout d'abord collé à l'intérieur des morceaux de contreplaqué pour atteindre l'épaisseur qu'atteindront plus tard l'isolation et le vaigrage. Puis nous avons percé à travers le tout, jusqu'à transpercer la plaque de CP de 12 de la porte. Puis, nous avons collé à l'époxy des inserts pour des vis de 8 dans les trous de la porte. Ensuite, nous avons rajouté une plaque de CP de 5 à l'extérieur de la porte (en insérant une vis vaselinée dans l'insert pour que celui-ci ne soit pas comblé par la résine), portant ainsi son épaisseur à 17mm. Aucune entrée d'eau n'est donc possible par les vis de fixation, d'autant plus que le trous sont réalisés à l'intérieur des baguettes d'appui des joints. Ensuite, nous collons les joints sur la porte à la néoprène. Ceci fait, nous pouvons déterminer la longueur des vis de serrage de la porte. Les poignées sont en CP de 12 enserrées par des écrous, plus une rondelle pour l'appui sur l'entourage de porte. Tout cela est fixé en place à l'araldite.


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Nous pouvons maintenant nous soucier du panneau horizontal. Celui-ci sera réalisé en assemblant une plaque d'altuglas fumé de 8 et une autre plaque de polycarbonate de 8, ceci car nous n'avons pas de panneaux assez épais. Nous aurons donc un panneau transparent de 16mm d'épaisseur. Première étape, mise en place pour faire les tracés (pratique que ce soit transparent).


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Ensuite nous pouvons faire les découpes à la scie sauteuse. Il était alors important, surtout pour le polycarbonate, d'envoyer en permanence de l'eau sur la coupe. Là encore, merci le pulvérisateur-douche. Puis, perçage des plaques pour les boulons de fixations de 5. Le perçage s'est fait avec un forêt neuf de 5,5 avec de l'eau envoyée en permanence. Ainsi, nous n'avons rien fendu; heureusement c'étaient les dernières grandes plaques rescapées de nos récups brestoises.


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Puis, collage des joints à la néoprène, ainsi que collage des retours en CP à l'époxy. Ces retours sont censés, entre autres à ce que la porte soit étanche à la pluie quand les poignées comprimant les joints sont laissées ouvertes. Nous les avons collés, car nous avions peur de percer les plexis si proche du bord.


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L'étape suivante a été la réalisation du U qui maintiendra la porte verticale lorsque nous n'avons pas besoin de la bloquer avec les vis. La partie basse du U a été creusée en gouttière, menant sur les côtés, où des trous permettent l'évacuation de l'eau. Ainsi, normalement pas de stagnation d'eau.


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Parallèlement, nous avons réalisé les poignées du panneau horizontal. Extérieur et intérieur sont réalisées sur la même tige filetée de 8. La partie intérieure de haut en bas : joint torique; rondelle écrou (pour comprimer le joint et assurer l'étanchéité); écrou; plaque d'aluminium avec un trou décentré (qui viendra se glisser sous un retour en alu pour bloquer la porte); écrou; écrou; poignée écrou, le tout bloqué à l'araldite. La partie extérieure est faite sur le même principe, sans plaque d'alu. Mais pour que les poignée soient démontables, au lieu de tout bloquer à l'araldite, on a bloqué avec écrou contre-écrou.


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Ces poignées viennent se glisser sous un support en CP, recouvert d'une plaque d'alu, afin de mieux glisser contre l'alu de la poignée. Nous n'avons fixé ce support qu'avec une vis au début, puis une fois la bonne pente trouvée pour comprimer le joint sans trop avoir à forcer nous avons mis en place la deuxième vis. Nous ne pouvons pas trop serrer, et faire ressortir la plaque de sous la glissière; la poignée sert de butée.


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Une fois le panneau horizontal en place, et serré par les poignées, nous avons pu déterminer l'épaisseur des tassauds de soutien des charnières. Nous les avons ensuite collés au sikadur colle, puis vissé les charnières


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Pour protéger le CP de l'humidité, tout a été résiné. Il ne reste plus ensuite que quelques coups de peinture ou vernis polyuréthane et c'est fini. Le panneau horizontal est trop grand pour passer sous la capote, c'est pourquoi nous l'avons fait transparent. Pour l'instant, il tient en l'air par un bout, peut être modifierons nous cela plus tard.  Nous avons confiance dans l'étanchéité du système, mais nous espérons ne jamais vérifier si ça tient vraiment un retournement.


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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 01:21

Un truc donné par Sylvain à la Gomera. Pour faire la lessive à la main, nous utilisons désormais une ventouse. Ainsi, facilement, on fait passer l'eau à travers toutes les fibres. C'est moins long qu'à la main, et ça abime moins le linge qu'à la brosse.

 

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6 septembre 2011 2 06 /09 /septembre /2011 15:34

Quelques "trucs" pour économiser l'eau. C'est incroyable ce que l'on peut gagner en autonomie avec quelques habitudes simples.

 

 

 

Bien entendu, la vaisselle se fait à l'eau de mer. Mais l'eau de mer, dont on est rarement à court, peut avoir de nombreux usages :

  

- du pain réalisé à l'eau de mer a le salage idéal.

- en mettant un tiers d'eau de mer dans l'eau des pâtes et du riz, le salage est top.

- la stérilisation des conserves peut se faire à l'eau de mer.

- avec une cocotte-minute équipée d'un panier, tout ce qui se cuit à la vapeur se cuit à l'eau de mer (le sel ne monte pas dans la vapeur).

  

  

 

D'autres choses permettent d' économiser de l'eau :

  

- faire cuire le riz en pilaf, ainsi toute l'eau est bue par le riz.

- Si on n'a pas de savon pour eau de mer, profiter de la pluie pour se laver, en même temps que récupérer de l'eau.

- Si il ne pleut pas, et que vous avez besoin d'une douche, notre système de pulvérisateur de jardin (la douche ) permet de ne consommer au maximum (gros shampooing) que 2,5 litres d'eau.

- Avec le pulvérisateur, lorsqu'il ne pleut pas pendant longtemps, on peut rincer efficacement l'accastillage.

- Utiliser l'eau des boîtes de conserve pour la cuisson du riz, exemple le riz à l'ananas est bien meilleur comme ça.

- Avoir à bord un stock de nourriture nécessitant pas ou peu d'eau. Lentilles (en boite), haricots (idem), semoule. Cela permet d'économiser, et de continuer à manger si il faut commencer à se rationner.

 

Ainsi, en zone tropicale, nous ne dépensons que 2,5l par jour par personne en faisant raisonnablement attention.

 

 

 

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25 août 2011 4 25 /08 /août /2011 21:52

Un problème récurrent sur les bateaux de voyage est la saleté qui bouche le circuit de gasoil du moteur. Pour limiter cela, nous filtrons le gasoil avec un morceau de collant serré sur l'entonnoir. Incroyable la quantité de saleté que l'on récupère ainsi !

 

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Voilà le contenu d'un bidon en provenance du Sénégal. Des bactéries, et même des sortes de spagettis, ce coup-ci ça valait le coup.

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